Le firmament
این چرخ فلک که ما در او حیرانیم
فانوس خیال از او مثالی دانیم
خورشید چراغ دان وعالم فانوس
ما چون صوریم کاندران گردانیم
La roue des cieux fatidique qui nous joue et nous égare
A la lanterne magique précisément se compare:
Le soleil en est le feu, l’univers est la carcasse,
Nous les images qui passent sans rien connaître du jeu.
Source: KHAYYAM Omar, Quatrains d’Omar Khayyãm, Traduit par Lazard, éd. Iraniansociety, Téhéran, 2006, PP. 155-156.
Galerie Relative:
Galerie des images du mausolée d’Omar Khayyãm (2)