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Article 216: 

L’évacuation sanguine qui se produit chez une femme après un accouchement s’appelle légalement Nifãs (lochies) à condition qu’elle cesse avant l’expiration de 10 jours. La femme qui se trouve dans cet état s’appelle Nafsã. 

Article 217: 

Le flux de sang qui se produit avant l’apparition du premier membre de l’enfant n’est pas Nifãs. 

Article 218: 

Il n’y a pas de limite à la quantité minimale du sang de Nifãs (le sang peut ne sortir que pendant un moment seulement et il est considéré comme sang de Nifãs), mais il ne doit pas excéder une durée de dix jours. 

Article 219: 

Par précaution, rester dans un Masjid ou faire tous les autres actes interdits pour une Hã’idh est également interdit pour une Nafsã, de même que les actes obligatoires pour la première sont obligatoires pour la seconde aussi. 

Article 220: 

Si le flux de sang de Nifãs continue au-delà de dix jours, et que la Nafsã’ a normalement un cycle menstruel fixe, elle doit se considérer comme étant Nifãs le sang évacué pendant le nombre de jours correspondant à la durée de son Haydh, et traiter le sang qui suit cette durée comme Istihãdhah. Mais si elle n’a pas un cycle menstruel régulier, elle est tenue de considérer les dix premiers jours du Nifãs comme Haydh, le reste comme Istihãdhah. 
Pour une femme ayant un Haydh fixe, la précaution recommandée veut qu’elle se comporte comme une Mustahãdhah à partir du jour où son cycle est terminé, et qu’elle s’abstienne en même temps de tout ce qu’il est interdit à une Nafsã’ de faire, et ce jusqu’au 18ème jour. Quant à la femme qui n’a pas un cycle menstruel fixe, cette précaution recommandée s’applique du 10ème au 18ème jour suivant l’accouchement.