Recherche
    Recherche d'expression

Avant-propos

Mujtahid

La pureté

La purification

Les usages aux toilettes
Les impuretés
Les purificateurs
Les ablutions
Les bains rituels obligatoires
Les écoulements de sang
Le mourant
Les bains rituels recommandés
Le Tayammum

La Prière

Les Prières

Les Prières recommandées
La Qiblah
Les vêtements de la Prière
Le Masjid
L’appel à la Prière et l’Iqãmah
Les actes obligatoires de la...
Les doutes concernant les...
La Prière du voyageur
Les Prières manquées
La Prière en assemblée
La Prière des signes
La Prière de ‘ÏD
Engager quelqu’un pour...

Le Jeûne

Le Khoms

La Zakãt

Le Hajj

Les transactions

Le mariage

L’allaitement

Le divorce

L’usurpation

L’objet trouvé

L’abattage des animaux

La chasse

Ce que l’on peut manger et...

Les bonnes manières à table

Le vœu, le pacte et le serment

La fondation perpétuelle

Le testament

L’héritage

Les opérations de banque

L’emprunt et le dépôt

La sécurité des marchandises
La vente de marchandise non...
La garantie bancaire
La vente d’actions
La vente de titres
Le transfert bancaire intérieur...
Les prix offerts par la banque
Les règles concernant les...
La vente et l’achat de devises...
Le compte courant et le retrait...
L’explication des lettres de...
Les activités bancaires
L’assurance
Le pas-de-porte
Les statuts de la dissection des...
Les statuts des transplantations
L’insémination artificielle
Les statuts du contrôle de la...
Les routes construites par l’état
Les billets de loterie

Questions diverses concernant la...

Article 747: 

Que le mariage soit permanent ou à durée déterminée, le simple consentement tacite de l’homme et de la femme, ou l’accord écrit, ne suffit pas à son accomplissement. La prononciation de la formule cérémonielle (Çîghah) du contrat de mariage est obligatoire pour qu’il soit valable. La formule du contrat de mariage doit être prononcée soit par l’homme et la femme eux-mêmes, soit par une personne qu’ils désignent pour la prononcer à leur place. 

Article 748: 

Une personne peut agir en qualité de représentant des deux futurs époux pour réciter la formule du mariage permanent ou à durée déterminée et il est également possible qu’un homme devienne le représentant d’une femme (et vice-versa) et qu’il contracte un mariage permanent ou à durée déterminée pour elle. Toutefois, la précaution veut que deux personnes récitent la formule du contrat de mariage. 

Article 749: 

Lorsqu’une femme et un homme veulent réciter eux-mêmes la formule de leur mariage permanent, la femme doit commencer la récitation en disant: "Zawwajtuka nafsî ‘alãç-çidãq-il-ma’lûm" (Je me suis mariée avec toi sur la base de la dot (Mahr) déjà fixée) 
Et l’homme doit répondre immédiatement: "Qabiltu-t-tazwîja" (J’ai accepté l’alliance) 
A la suite de quoi, le contrat de mariage est considéré comme valable. 
Si la femme et l’homme désignant chacun un représentant pour prononcer à leur place la formule de mariage et que l’homme s’appelle Ahmad, par exemple, et la femme Fâtimah, le représentant de celle-ci doit, le premier, dire, en s’adressant au représentant de celui-là (Ahmad): "Zawwajtu muwakkilaka Ahmad muwakkilatî Fãtimah ‘alaç-çidãq-il-ma’lûm" (J’ai marié ton client Ahmad à ma cliente Fatimah sur la base de la dot déjà fixée). 
Et là, le représentant de l’homme doit répondre immédiatement: "Qabiltu-t-tazwîja li-muwakkili (Ahmad) ‘alaç-çidãq-il-ma’lûm" (J’ai accepté l’alliance matrimoniale pour mon client (Ahmad) sur la base de la dot déjà fixée). 
Sur ce, le contrat de mariage est valablement conclu. 
Et par précaution recommandée, il est nécessaire que les termes utilisés par l’homme soient les mêmes que ceux prononcés par la femme. Par exemple, si la femme dit: "Zawwajtuka nafsî" (je me suis mariée à toi), l’homme doit répondre: "Qabiltu-t-tazwîja" (j’ai accepté l’alliance matrimoniale), et non "Qabiltu-n-nikãha". 

Article 750: 

Il est permis à un homme et à une femme de réciter la formule du mariage à durée déterminée (Mut’ah), après avoir fixé la durée du mariage et le montant de la dot. Ainsi, si la femme dit: 
"Zawwajtuka nafsî fil-muddat-il ma’lûmati ‘ala-l-mahr-il-ma’lûm" (Je me suis mariée à toi pour la période convenue et sur la base de la dot convenue). 
Et que l’homme réponde immédiatement: "Qabiltu" (J’ai accepté). 
Le contrat de mariage est conclu légalement. 
Le mariage sera également valable s’ils désignent chacun un représentant pour prononcer à leur place la formule prescrite. Dans ce cas, le représentant de la femme doit dire le premier à l’adresse du représentant de l’homme: "Matta’tu muwakkilatî muwwakkilaka fi-l-muddãt-il-ma’lumati ‘ala-l-mahr-il-ma’lûm". (J’ai donné ma cliente à ton client en mariage à durée déterminée pour la période et la dot convenues). 
Et le représentant de l’homme doit répondre immédiatement:"Quabiltu-t-tazwîja li-muwakkilî hãkathã" (J’ai accepté cette alliance matrimoniale pour mon client).