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Article 774: 

Pour pouvoir divorcer de sa femme légalement, l’homme doit être adulte et sain d’esprit. Il doit également le faire selon son libre choix. Si donc il est forcé de divorcer avec elle, le divorce sera nul. Il est aussi nécessaire que l’homme ait réellement l’intention de se séparer de son épouse, sinon, par exemple s’il prononce la formule de divorce par plaisanterie, celle-ci sera de nul effet. 

Article 775: 

Lorsqu’une femme est divorcée, il est nécessaire qu’elle ait achevé la période de ses règles ou de ses lochies. Il est également nécessaire que son mari n’ait pas eu de rapports sexuels avec elle après cette période de règles ou de lochies. 

Article 776: 

Toutefois, il est permis de divorcer de sa femme même si elle se trouve en période de règles ou de lochies dans les trois cas suivants: 
1- Si le mari n’a pas eu de rapports sexuels avec elle après le mariage. 
2- Si on sait qu’elle est enceinte. Mais, au cas où son mari la congédierait pendant la période de ses règles sans savoir qu’elle est enceinte, et qu’il vienne à l’apprendre par la suite (qu’elle était enceinte pendant cette période), la précaution recommandée veut qu’il divorce avec elle à nouveau. 
3- Si, étant absent ou en prison, le mari ne peut s’assurer si elle a terminé une période de règles ou de lochies ou non. Mais dans un tel cas, le mari doit, par précaution obligatoire, attendre au moins un mois après sa séparation avec sa femme avant de procéder au divorce. 

Article 777: 

Il est nécessaire que la formule de divorce soit prononcée en arabe correct (soit le mot tâliq), et que deux personnes justes l’entendent. Lorsque le mari veut prononcer lui-même la formule, il doit prononcer également le nom de la femme. Si sa femme s’appelle Fatimah par exemple, il doit donc dire: "Zawjatî (ma femme) Fatimah tãliq (est divorcée)". 
Et au cas où il désignerait quelqu’un d’autre pour prononcer en son nom la formule de divorce, son représentant devra dire: "Zawjatu (la femme de) Muwakkilî (mon client), Fatimah, tãliq (est divorcée)". 
Toutefois, si la femme divorcée est identifiée, il n’est pas nécessaire de mentionner son nom. 
Si le mari n’est pas en mesure de prononcer la formule de divorce en arabe, ni de trouver un représentant pour le faire à sa place, il peut prononcer la traduction exacte de ladite formule dans n’importe quelle langue.