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  • 23/2/2012
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Les vices du voyeurisme!

les vices du voyeurisme!

   Dieu le Très-haut gratifia l’homme de Ses bienfaits infinis. En outre, le Créateur combla l’homme des bienfaits corporels et charnels. En échange, la moindre chose que le Seigneur le Miséricorde attend de la part de Ses créatures, est de ne pas se servir des bienfaits divins dans un sens qui serait contraire à la volonté divine. Avec les oreilles, nous devons nous abstenir d’entendre ce que Dieu n’aime pas. Avec la langue, nous ne devons pas goûter ce que Dieu nous a rendu illicite. Et avec les yeux qui sont le don divin pour voir le monde de la création et en tirer leçons, nous ne devons pas commettre des actes prohibés.

Mais les individus négligents restent inattentifs à cet égard. Bien qu’il sache que tout vient de la part du Seigneur, et qu’ils soient conscients du bon usage des dons du ciel, ils désobéissent à l’ordre de Dieu, ils commettent des péchés, et ils s’éloignent délibérément du Créateur.

   Le présent article est consacré à l’un des plus grands bienfaits dont Dieu a gratifié l’homme, c’est-à-dire les yeux avec lesquels l’homme peut observer le monde, le contempler pour en tirer des leçons, regarder avec affections les parents et les enfants, et chercher la voie pour se rapprocher du trône céleste du Seigneur. Avec les yeux, les fidèles peuvent lire les versets lumineux du noble Coran et comprendre les signes de la grandeur du Seigneur. Devons-nous alors oser nous servir de ces grands bienfaits divins pour commettre des péchés et perdre ainsi la satisfaction de Dieu? Dans de nombreux hadiths, le regard malsain et dépravé est blâmé par des termes les plus explicites. Dans de nombreux hadiths, le vénéré Imam Sãdiq (S.L.) compare le regard malsain aux flèches lancées par le diable.

En général, le vice que nous pouvons appeler «voyeurisme» n’est pas souvent commis pour la première fois, d’une manière délibérée et intentionnelle. En effet, celui qui le commet croit qu’il le fait pour la première et dernière fois.

M. Mahdavi

Traduit par M. Rastegar

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