Relation entre la montagne et le fleuve
Traduit par Jean d’Agape
«وَ هُوَ الَّذي مَدَّ اْلأَرْضَ وَ جَعَلَ فيها رَواسِيَ وَ أَنْهارًا وَ مِنْ كُلِّ الثَّمَراتِ جَعَلَ فيها زَوْجَيْنِ اثْنَيْنِ يُغْشِي اللَّيْلَ النَّهارَ إِنَّ في ذلِكَ َلآياتٍ لِقَوْمٍ يَتَفَكَّرُونَ»
{Et c’est Lui qui a étendu la terre, et y a assigné montagnes et fleuves. Et de tous les produits, Il y a assigné les couples par deux. Il fait que la nuit couvre le jour. Voilà bien là des signes pour les gens qui réfléchissement!} (Le Tonnerre: 3)
Les fleuves coulant sur la terre sont une preuve de l’unicité de Dieu
«أَمَّنْ جَعَلَ اْلأَرْضَ قَرارًا وَ جَعَلَ خِلالَها أَنْهارًا وَ جَعَلَ لَها رَواسِيَ وَ جَعَلَ بَيْنَ الْبَحْرَيْنِ حاجِزًا أَ إِلهٌ مَعَ اللّهِ بَلْ أَكْثَرُهُمْ لا يَعْلَمُونَ»
{Quoi! Celui qui a désigné la terre comme gîte, et, dans ses brèches, désigné des rivières, et désigné, pour elle, des montagnes, et désigné une barrière entre deux ondes, quoi! Y a-t-il un dieu à côté de Dieu? Non, mais la plupart d’entre eux ne savent pas}.
(Les Fourmis: 61)
Les ruisseaux qui jaillissent des pierres
إِنَّ مِنَ الْحِجارَةِ لَما يَتَفَجَّرُ مِنْهُ اْلأَنْهارُ وَ إِنَّ مِنْها لَما يَشَّقَّقُ فَيَخْرُجُ مِنْهُ الْماءُ وَ إِنَّ مِنْها لَما يَهْبِطُ مِنْ خَشْيَةِ اللّهِ
{Oui, il est des pierres d’où jaillissent les ruisseaux, oui, et il en est qui se fendent, puis de l’eau en sort, oui, et il en est qui tombent, par crainte de Dieu. Et Dieu n’est pas inattentif à ce que vous faites}.
(Vache: 74)
L’Imam ’Ali (AS) a dit: «Quand l’eau s’installa et se calma sous les épaules lourdes de la terre, et que les hautes montagnes orgueilleuses se placèrent sur elle, cette dernière commença à couler des narines des montagnes pour donner naissance aux fontaines et arroser les plaines et les campagnes.» (Nahj Al-Balãgheh, sermon 90)
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