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  • 23/2/2013
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Lettre d’un père bienveillant aux jeunes filles (3)

hijãb

Traduit par Jean d’Agape

   Nous devons être fiers des enseignements de l’Islam. Les sociétés islamiques sont les plus saines des sociétés. La séparation des sexes est une condition importante à la santé de la société. Mettre le tchador et le voile en présence des étrangers et le fait de consacrer certaines fonctions aux femmes et certaines autres aux hommes interviennent nécessairement en conformité avec les questions liées à la sexualité et les principes y liés.

Les prescriptions religieuses prennent en considération à la fois les dimensions corporelles et spirituelles de l’homme et de la femme. Elles n’ont pas pour origine la supériorité d’un sexe par rapport à l’autre. Tous les prophètes ont prescrit le voile et ce dernier ne se limite pas à l’Islam et la règle concerne non seulement les femmes mais également les hommes.

   Récemment il a été proposé à un ministre italien d’interdire le bourqa pour les femmes musulmanes. Il avait répondu qu’il n’interdirait ce dont se servait la sainte Marie! Cela veut dire que la saint Marie aussi avait le voile complet.

Chère fille, sur le voile, sur les compétences de la femme et de l’homme et sur le rôle de ces deux sexes dans la mise en place d’une société logique et noble, de nombreux livres ont été écrits par les sunnites aussi bien que les chiites, par les musulmans aussi bien que les incroyants.

   Je vous conseille, si vous êtes vraiment en quête du salut réel, de porter le voile et de respecter toutes les sublimes prescriptions de l’Islam dans tous les domaines. Que le Seigneur Très Haut vous protège et vous guide vers la réalisation de tous vos souhaits légitimes et logiques.

Au revoir

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