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  • 10/6/2007
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Mohammad Ali Hosseini transmet les condoléances de l’Iran après le tragique crash en Thaïlande.

  

Hosseini

  

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Mohammad Ali Hosseini a exprimé la sympathie la plus profonde du gouvernement et de la nation iranienne envers les familles des victimes du tragique accident d'avion en Thaïlande qui a fait plus de 80 victimes dont plusieurs Iraniens.
 

   " Le gouvernement et le peuple de l'Iran transmettent leurs plus sincères condoléances au gouvernement et à la nation thaïs et souhaitent paix et sérénité aux familles des victimes de l'incident tragique qui a tué 89 personnes", a poursuivi Mohammad Ali Hosseini dans un communiqué émis.

   Au lendemain de l'accident d'avion de l'aéroport de Phuket, le dernier bilan officiel s'établissait lundi à 89 morts, dont 53 étrangers, et 41 blessés. Les causes de la catastrophe, n'était pas connues, mais les responsables de la compagnie avancent l'hypothèse de vents cisaillant fatals à l'appareil. L'appareil s'est écrasé, sortant de la piste avant de prendre feu. Les victimes ont été prises au piège des flammes, alors que les rescapés ont réussi à s'échapper par les hublots. Opérationnelle depuis décembre 2003, One-Two-Go est une filiale intérieure de la compagnie de charter régionale Orient-Thai, basée en Thaïlande. Son président Kajit Habnanonda évoquait lundi l'hypothèse d'un cisaillement du vent fatal à l'avion. Ce phénomène, une différence rapide de la vitesse ou de la direction du vent, peut perturber les avions notamment lors de l'atterrissage ou du décollage.

   L'aéroport de l'île de Phuket, destination balnéaire prisée de Thaïlande, devait rouvrir en fin d'après-midi, la carcasse de l'appareil et tous les débris dont une aile et le fuselage ayant été dégagés. Cet accident est le plus grave qu'ait connu la Thaïlande depuis le crash d'un appareil de la Thai Airways, le 11 décembre 1998, à Surat Thani, à 530km au sud de Bangkok, qui avait fait 101 morts et 45 survivants. La catastrophe soulève à nouveau la question de la sécurité des compagnies à bas coût en Asie du Sud-Est, qui ont connu une croissance rapide ces dernières années et ont souvent du mal à trouver des pilotes qualifiés.

Source: www.Irna.ir

 

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