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  • 26/1/2008
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LA CARICATURE!  (2)

    Tebyan vous propose quelques caricatures exposées à l’occasion d’une compétition internationale sur le thème de l’holocauste qui eut lieu à Téhéran pendant l’été 2006. Compte tenu de l’interdiction en vigueur établie par la loi Gayssot-Fabius, il n’est pas possible d’aborder certains sujets et des dessins seront automatiquement autocensurés. Malgré les prétentions des « impertinents briseurs de tabous » généreusement soutenus par la CIA et le Mossad, la liberté d’expression reste un concept à géométrie variable, et l’on sait que jamais la géométrie euclidienne ne s’est appliquée en la matière. La liberté d’expression fait partie de ces domaines privilégiés ayant connu dès son auguste naissance les miracles de la mathématique quantique, c’est-à-dire cette incroyable capacité à s’étendre ou à se restreindre selon des lois ou des facteurs qui restent impénétrables à l’honnête homme.

   Que l’islam ait posé des limites claires et définies à la liberté d’expression, cela ne fait pas débat et c’est là tout le courage des musulmans de ne pas succomber au sophisme des temps modernes, qui veut que l’on affiche des slogans dans le seul but d’amadouer la masse privée qu’elle est, de conscience politique et culturelle par son tuteur.Que l’obscénité de la nouvelle génération d’hommes politiques s’étale sur des pages entières de journaux, présentant leur nouvelles conquêtes féminines et leurs vacances de luxe dans quelque palace aseptisé,  alors que toujours plus de sacrifices sont demandés aux plus pauvres afin de sauver le système qui les asservit, cela ne scandalise personne.

   Mais qu’une noble religion protège ses illustres personnages, au premier rang desquels figure le sceau de la prophétie, Muhammad Ibn Abdallah, paix sur lui et sa pure famille, et voilà que s’ameutent une foule d’arriérés mentaux, acculés à demander l’aumône du talent qu’ils n’ont pas, auprès de mécènes intéressés par le vice et la guerre, plutôt que par les mots que ces messieurs agitent si impudiquement. L’hypocrisie n’a pas lieu d’être en Islam et les musulmans sont tout fiers que leur religion soit celle de la révélation coranique, celle de la loi de Dieu par dessus la loi des hommes, celle de la justice et de la vérité, celle de la bonté et de l’honnêteté, celle de la foi et du sacrifice, c’est là toute la fierté de nous autres disciples du prophète.

    Qu’importe que les diseurs de bonne leçon nous haïssent ! Voilà bien plutôt matière à se réjouir que de faire l’objet de leur pitoyable haine ! Qu’ils meurent de leur colère et que les traits de leur visage leur volent le sourire qu’ils n’ont jamais été capables d’offrir. Que les rides de leur avarice s’étendent jusqu’à les empêcher de voir les dessins que nous vous proposons ici, car ces caricatures sont avant tout dédiées aux honnêtes gens qui ne craignent pas de faire réfléchir ce cerveau que Dieu a mis à leur disposition.

 

1. Naissance de l’entité sioniste

 

   L’entité sioniste est un projet colonial auquel la Grande-Bretagne participa activement au travers de la Déclaration Balfour de 1917. La tumeur cancérigène était destinée à pénétrer au plus profond le corps islamique et les œufs pondus ont éclos et ont donné naissance à un monstre politique et militaire que ni leur géniteur ni leur malheureux voisins ne maîtrisent plus.

Caricature de naissance de l’entité sioniste

2. Le talon d’Achille du monde musulman

 

   L’aiguille sioniste allait durablement blesser le monde musulman et la plaie générée se transformer en un abcès infectieux. Aujourd’hui, nombre de dirigeants musulmans sont rongés par le doute et devenus incapables de choisir entre l’Occident et le monde musulman.

Caricature de blesser le monde musulman

3. Un phénomène éphémère

 

   Nombre d’analystes considèrent que le phénomène sioniste est trop artificiel pour durer et qu’il n’a pas été créé pour devenir permanent. Il s’agit d’un projet extrêmement coûteux sous perfusion occidentale qui disparaîtra telle une esquisse rebutante tracée sur le sable d’une mer agitée.

Phénomène éphémère

4. Le tracé de la paix

 

   Conscient de l’inanité du projet sioniste originel, le mouvement sioniste dut, sous la pression de leurs tuteurs occidentaux et de la rue arabo-musulmane, faire des concessions aux palestiniens à contre cœur. D’un projet de grand Israël du Tigre au Jourdain, les déboires démographiques, le réveil des musulmans de Palestine et du Liban et les difficultés éprouvées par l’entité raciste l’ont conduite à évoquer la possibilité de la création éventuelle d’un Etat palestinien pendant les négociations de Madrid dans les années 1990.

Toutefois, ces différents accords se sont vite révélés un jeu truqué dans lequel les pays arabes se sont faits prendre. Le jeu à somme négative se poursuit jusqu’aujourd’hui et l’entité sioniste continue le génocide des palestiniens en affamant la bande de Gaza, en créant de nouvelles colonies, et en changeant le tracé de frontières condamnées à disparaître de toute façon. La liste des exactions commises par l’entité sioniste que l’on peut aisément qualifier ce gouvernement de « bande criminelle ».

Caricature

Référence :

http://www.irancartoon.ir/gallery/album48

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