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Chapitre 1: du principe de...

Chapitre 2: de la pureté rituelle

Chapitre 3: de la prière

La prière, son importance, ses...
Les horaires de la prière
L’orientation de la prière
Les lieux de la prière
Les mosquées
Les autres lieux de culte
Les vêtements de la prière
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La prière par procuration
La prière accompagnant les...
Les prières surérogatoires
Questions diverses au sujet de...

Chapitre 4: du jeûne

Chapitre 5: du quint

Chapitre 6: les conflits

Chapitre 7: de l’exhortation à la...

Chapitre 8: les gains illicites

Chapitre 9: les jeux

Chapitre 10: la musique, le...

Chapitre 11: les représentations...

Chapitre 12: questions diverses...

Chapitre 13: les questions...

Chapitre 14: les règles de...

Chapitre 15: les droits d’auteur...

Chapitre 16: le commerce avec...

Chapitre 17: le travail dans un...

Chapitre 18: l’ostentation...

Chapitre 19: l’imitation et la...

Chapitre 20: l’immigration

Chapitre 21: l’espionnage, la...

Chapitre 22: le tabac et la...

Chapitre 23: la moustache et la...

Chapitre 24: la participation...

Chapitre 25: les invocations et...

Chapitre 26: les célébrations...

Chapitre 27: les festivités et...

Chapitre 28: le monopole et le...

Chapitre 29: la vente

Chapitre 30: l’usure

Chapitre 31: le droit de...

Chapitre 32: le louage de biens...

Chapitre 33: le pas de porte

Chapitre 34: le cautionnement

Chapitre 35: le gage

Chapitre 36: la société

Chapitre 37: la donation

Chapitre 38: le prêt

Chapitre 39: la transaction

Chapitre 40: le mandat

Chapitre 41: la cession de...

Chapitre 42: l’aumône

Chapitre 43: le dépôt et le prêt...

Chapitre 44: le testament

Chapitre 45: l’usurpation

Chapitre 46: le séquestre

Chapitre 47: la Mudhãraba

Chapitre 48: les activités...

Chapitre 49: l’argent public, les...

Chapitre 50: le Waqf

Q 699: Certaines institutions exigent un certain nombre de conditions préalables afin d’octroyer un prêt de bienfaisance. Elles exigent parfois l’adhésion à la caisse en tant que membre, le fait d’y être titulaire d’un compte d’épargne, et la résidence dans la localité d’implantation de l’institution, ainsi que d’autres conditions similaires. Est-ce une forme d’usure?
R: Il convient de poser des conditions d’adhésion ou de résidence dans ce type de situation, ce qui revient à réserver le prêt aux personnes qui répondent à ces conditions. Lorsqu’on ouvre un compte à condition d’obtenir un crédit futur, la condition est nulle.
Q 700: Y a-t-il un moyen de se débarrasser de l’usure dans les transactions bancaires?
R: La solution réside dans le recours aux contrats légaux, et dans l’observation des conditions propres à ces contrats.
Q 701: Lorsque le prêt accordé par une banque, à un particulier, est conditionné à son affectation à un usage particulier, l’emprunteur peut-il l’utiliser à une autre fin?
R: S’il s’agit d’un prêt conditionné à un usage particulier, alors rien n’empêche l’emprunteur d’affecter le montant à un autre usage. Mais, s’il s’agit d’un montant reçu au titre de la Mudhãraba, ou de la Mushãrakat, alors l’emprunteur est tenu de respecter cette condition.
Q 702: Un blessé de guerre sollicite un prêt de la banque, alors qu’il est détenteur d’une lettre de la fondation des blessés de guerre (de la défense de l’Islam) attestant d’un certain taux d’invalidité et qui donne droits à des facilités et avantages. S’il considère être atteint d’un degré d’invalidité inférieur à celui que les médecins et spécialistes ont diagnostiqué, a-t-il le droit d’en tirer avantage?
R: Si la détermination du taux d’invalidité est faite par les médecins en fonction de leur évaluation, alors il s’agit du véritable critère dont le blessé de guerre peut se prévaloir auprès des banques, en vue d’obtenir des facilités. Il n’y a aucun inconvénient, pour ce dernier à en tirer avantage, y compris lorsqu’il est persuadé de se situer à un degré d’invalidité inférieur.