Calme
برگیر پیاله و سبوی ای دلجوی
فارغ بنشین بکشتزار و لب جوی
کاین چرخ بسی سروقدان مهروی
صدبار پیاله کرد و صد بار سبوی
Sur les rives verdoyantes de quelque agreste ruisseau
Viens t’asseoir, ô ma charmante, avec la coupe et le broc.
Pour ces faïences fragiles, de combien de corps aimés
Le temps, ma tendre beauté, a cent fois pétri l’argile!
Source: KHAYYAM Omar, Quatrains d’Omar Khayyãm, Traduit par Lazard, éd. Iraniansociety, Téhéran, 2006, PP.201-202.
Galerie Relative:
Galerie des images du mausolée d’Omar Khayyãm (2)