Quand la vie vient à son terme
چون عمر به سر رسد چه بغداد و چه بلخ
پیمانه چو پر شود چه شیرین و چه تلخ
می نوش که بعد از من و تو ماه بسی
از سلخ به غرّه آید از غرّه به سلخ
Quand la vie vient à son terme, qu’importe Bagdãd ou Bactres?
Et quand la mesure est pleine, qu’importe douce ou saumâtre?
Prends ton plaisir: on verra longtemps après toi et moi
Au firmament bien des fois croître la lune et décroitre.
Source: KHAYYAM Omar, Quatrains d’Omar Khayyãm, Traduit par Lazard, éd. Iraniansociety, Téhéran, 2006, PP. 65-66.
Galerie Relative:
Galerie des images du mausolée d’Omar Khayyãm (2)