Recherche
    Recherche d'expression

Avant-propos

Mujtahid

La pureté

La purification

Les usages aux toilettes
Les impuretés
Les purificateurs
Les ablutions
Les bains rituels obligatoires
Les écoulements de sang
Le mourant
Les bains rituels recommandés
Le Tayammum

La Prière

Les Prières

Les Prières recommandées
La Qiblah
Les vêtements de la Prière
Le Masjid
L’appel à la Prière et l’Iqãmah
Les actes obligatoires de la...
Les doutes concernant les...
La Prière du voyageur
Les Prières manquées
La Prière en assemblée
La Prière des signes
La Prière de ‘ÏD
Engager quelqu’un pour...

Le Jeûne

Le Khoms

La Zakãt

Le Hajj

Les transactions

Le mariage

L’allaitement

Le divorce

L’usurpation

L’objet trouvé

L’abattage des animaux

La chasse

Ce que l’on peut manger et...

Les bonnes manières à table

Le vœu, le pacte et le serment

La fondation perpétuelle

Le testament

L’héritage

Les opérations de banque

L’emprunt et le dépôt

La sécurité des marchandises
La vente de marchandise non...
La garantie bancaire
La vente d’actions
La vente de titres
Le transfert bancaire intérieur...
Les prix offerts par la banque
Les règles concernant les...
La vente et l’achat de devises...
Le compte courant et le retrait...
L’explication des lettres de...
Les activités bancaires
L’assurance
Le pas-de-porte
Les statuts de la dissection des...
Les statuts des transplantations
L’insémination artificielle
Les statuts du contrôle de la...
Les routes construites par l’état
Les billets de loterie

Questions diverses concernant la...

Article 502: 

Pour être Imam de prière, il faut être adulte, sain d’esprit, chiite duodécimain, juste et de naissance légitime. L’Imam doit pouvoir accomplir correctement la prière et si celui qui le suit est un homme, l’Imam doit l’être aussi. Suivre un garçon de 10 ans est sujet à contestation "Ichkãl". 

Article 503: 

Si quelqu’un estime qu’un Imam est juste et que, par la suite, il ne sait plus s’il l’est toujours ou non, il peut continuer à le suivre. 

Article 504: 

Celui qui suit un Imam doit désigner celui-ci lorsqu’il formule l’intention de prier derrière lui, mais il n’est pas nécessaire qu’il connaisse son nom. Par exemple, il suffit qu’il se dise mentalement: "Je prends cette personne-ci comme Imam" pour que sa prière soit valable. 

Article 505: 

Celui qui prie derrière un Imam doit faire toutes les récitations de la prière, excepté la Sourate Al-Hamd et la Sourate complémentaire (qui sont laissées à la charge de l’Imam), mais s’il se trouve en première ou deuxième unité de prière, alors que l’Imam en est à la troisième ou à la quatrième Rak’ah, il doit alors réciter lui-même les deux Sourates. 

Article 506: 

Si celui qui prie derrière un Imam entend plus ou moins la récitation par l’Imam de la Sourate Al-Hamd et de la Sourate complémentaire (même s’il ne parvient pas à en entendre distinctement les mots) dans les prières de l’aube, du crépuscule et de la nuit, il ne doit pas les réciter lui-même, mais s’il n’entend pas la récitation de l’Imam, il est recommandé qu’il les récite silencieusement, et s’il les récite inconsciemment à haute voix, sa prière reste valable. 

Article 507: 

Même si celui qui suit l’Imam n’entend que quelques mots de la Sourate Al-Hamd et de la Sourate complémentaire récitées par l’Imam, il peut en réciter autant qu’il entend. 

Article 508: 

Celui qui prie derrière un Imam ne doit pas réciter la Sourate Al-Hamd ni la Sourate complémentaire dans les première et deuxième unités des prières de midi et de l’après-midi, mais il est recommandé qu’il récite, à leur place, le Dhikr (Subhãn-Allãh, par exemple). 

Article 509: 

Celui qui prie derrière un Imam ne doit pas dire la Takbîrat-ul-Ihrãm avant l’Imam, et la précaution obligatoire veut même qu’il ne la dise pas tant que l’Imam n’aura pas fini de la prononcer complètement. 

Article 510: 

Il est permis au Mamûm de prononcer toutes les autres récitations (excepté la Takbîrat-ul-Ihrãm et le Salãm) avant l’Imam, mais s’il entend celui-ci les réciter, ou s’il sait quand il les récite, il devrait, par précaution recommandée, éviter de les prononcer avant lui (l’Imam). 

Article 511: 

Si le Mamûm se trouve en inclination et relève la tête par erreur avant que l’Imam n’ait terminé son inclination, il doit s’incliner de nouveau tout de suite, et dans ce cas l’inclination de trop qui est un pilier (Rukn) de la Prière n’invalidera pas celle-ci. Mais si l’Imam termine l’inclination et relève la tête avant que le Mamûm se soit à nouveau incliné pour corriger son erreur, il doit, par précaution, considérer sa prière comme étant invalide.