Ce qui est pris aux Kofãr par tromperie, escroquerie ou par tout autre moyen semblable qui ne font pas partie des règles de la guerre, ne peut pas être considéré comme un butin, mais seulement comme un gain, comme nous le verrons plus loin - et le Khoms doit y être prélevé à ce titre seulement, au cas où la prise est légale. Mais si la prise n’était pas légale (par exemple, s’il s’agit d’une trahison et une violation d’un accord de non-agression) dans ce cas-là "la précaution juridique" est de rendre aux mécréants ce qui leur a été pris.