Si le bien mis en fondation est tellement usé, ou susceptible d’être altéré rapidement, qu’il n’est pas possible qu’il serve à ce pour quoi il a été offert, en fondation, par exemple, si la natte d’une mosquée (Masjid) est tellement déchirée qu’il n’est pas possible d’y prier, il est permis alors que le fidéicommissaire ou quelqu’un qui occupe la même fonction la vende. Et s’il est possible, l’argent de la vente doit, par précaution, être alloué à la même mosquée (Masjid) et servir le même but pour lequel le propriétaire originel du bien (le fondateur) l’a mis en fondation.