پارسایى را دیدم به محبت شخصی گرفتار، نه طاقت صبر و نه یارای گفتار. چندانکه ملامت دیدی و غرامت کشیدی ترک تصابی نگفتی و گفتی
كوته نكنم ز دامنت دست ور خود بزنى به تیغ تیزم
بعد از تو ملاذ و ملجاعی نیست هم در تو گریزم، ار گریزم
باری ملامتش کردم و گفتم: عقل نفیست را چه شد تا نفس خسیس غالب آمد؟ زمانی بفکرت فرو رفت و گفت
هر كجا سلطان عشق آمد، نماند قوت بازوى تقوا را محل
پاكدامن چون زید بیچاره اى اوفتاده تا گریبان در وحل
Un derviche que j'ai connu n'aimait pas avec moins de passion un jeune homme. Le secret de son amour ayant été dévoilé, il subit des reproches et se vit infliger des amendes. Mais il ne pouvait renoncer à tant de passion et gémissait en s'humiliant:
«Je ne pourrais jamais retirer ma main du pan de sa robe,
quand bien même il s'armerait d'un cimeterre.
Je n'ai d'autre asile que lui, d'autre refuge que le sien.
Et si je dois m'enfuir un jour, c'est avec lui que je fuirai!»
J'essayai de le ramener à de plus sages sentiments:
«Qu'est-il donc arrivé, lui dis-je, pour qu'un esprit aussi sublime que le tien se laisse subjuguer par une passion si vulgaire?»
Il réfléchit un temps, et me répondit:
«Lorsque le souverain de l'amour est venu
Le bras de l'abstinence a perdu toute force.
Celui qui jusqu'au cou dans le bourbier se voit
Comment pourrait-il vivre avec sa robe propre?»