توانگری بخیل را پسری رنجوربود. نیکخواهان گفتندش: مصلحت آنست که ختم قرآنی کنی ازبهر وی یا بذل قربانی. لختی به سختی به اندیشه فرو رفت و گفت: مصحف مهجور اولی ترست که گله ی دور. صاحبدلی بشنید و گفت: ختمش به علّت آن اختیار آمد که قرآن بر سرزبانست و زر درمیان جان
دریغا گردن طاعت نهادن گرش همره نبودى دست دادن
به دینارى چو خردرگل بمانند ورالحمدى بخوانى صد بخوانند
Un riche avare avait un fils malade. Des amis dirent au père: «Il convient qu'à l'intention de ton fils, tu fasses une lecture complète du Coran, ou bien que tu offres aux pauvres un sacrifice.»
Le père se plongea un instant dans ses réflexions et dit: «La lecture complète du Coran vaut mieux, car le Saint Livre est sous la main, tandis que le troupeau où je pourrais choisir une brebis est au contraire sur la montagne.»
Un homme sensé ayant entendu ces paroles murmura: «Il a choisi la lecture du Coran, parce qu'il a ce livre au bout de la langue, tandis que son or, il l'a enfoui dans le tombeau de son cœur!
» Incliner son cou en signe d'adoration serait douleur
s'il fallait aussi dépenser! La main qui se détend et s’ouvre
pour offrir, fait trop mal... Pour un dinar donné
Comme un âne embourbé, il n'avancera plus
Mais, si tu yeux une prière, il t'en dira une centaine.»