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  • 20/11/2012
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La femme résiste mieux que l’homme aux maladies

ashley montague

   On a découvert dernièrement que l’homme est moins résistant que la femme aux maladies. C’est une autre raison qui expliquerait pourquoi le taux de mortalité parmi les hommes est supérieur à celui qu’on enregistre chez les femmes.

Il y a quelques années, le Bureau Français des Statistiques a rapporté qu’en France, il y a 105 naissances de garçons pour 100 naissances de filles, et que le nombre des femmes excède d’un million sept cent cinquante-huit mille celui des hommes. Il attribue cette différence à une meilleure résistance de la femme aux maladies.

   Il n’y a pas longtemps, un article a été publié dans la revue illustrée de l’Unesco, "Courrier". Selon  cet article: «La femme est intellectuellement supérieure à l’homme, la moyenne de sa longévité dépasse celle des hommes, elle est habituellement mieux portante que l’homme et plus résistante aux maladies que lui, et elle en guérit plus rapidement. Il y a une  femme bègue pour cinq hommes bègues, une femme daltonienne pour 16  hommes daltoniens. L’hémorragie est presque confinée aux hommes. La  femme est plus à l’abri contre  des accidents que l’homme. Pendant la dernière guerre mondiale, il a été établi que dans des circonstances similaires, la  femme pouvait mieux supporter les difficultés d’un blocus, la prison et les camps de concentration que  l’homme. Dans presque tous les pays, les cas de suicide chez les hommes sont  trois fois plus nombreux que chez les femmes.»

Ashley Montague a développé sa théorie de la supériorité de la résistance de la femme aux maladies dans son livre "La Femme, le sexe supérieur".

   Même si un homme décidait un jour de se venger de la femme et qu’il réussisse à l’acculer aux travaux les plus pénibles et les plus dangereux, ou à la pousser dans les champs de bataille face aux fusils et aux bombes, l’équilibre entre le nombre des hommes et le  nombre des femmes ne serait pas pour autant restauré, car la femme a un plus grand pouvoir de résister aux maladies, aux difficultés et aux situations dangereuses.

Nous en avons dit suffisamment sur le premier point, c’est-à-dire, la supériorité numérique des femmes en âge de se marier, et nous savons maintenant que cette supériorité est un fait réel. Nous en connaissons aussi les causes.

Source: MUTAHARI. Mortadhã, Les Droits de la femme en Islam, Traduit par al-Bostani, éd. Ansariyan, Téhéran, 2002, PP.278-280.

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