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  • 17/9/2007
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Le ministère iranien des Affaires étrangères condamne l’attentat perpétré contre les mausolées des saints Imams à Samara

Le ministère iranien des Affaires étrangères condamne l’attentat perpétré contre les mausolées des saints Imams à Samara

 

Mohammad Ali Hosseini, le porte parole du ministère iranien des Affaires étrangères a condamné l’attentat criminel contre les mausolées des Saints Imams à Samara par les ennemis du peuple irakien.

Selon le service de presse du ministère iranien des Affaires étrangères, Mohammad Ali Hosseini a précisé que la République islamique d’Iran condamne ces actes laids et les a qualifié d’attaques haineuses des ennemis de l’unité du peuple irakien .Le porte parole du ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré qu’ourdir de tels actes contre la sécurité de l’Irak et ainsi multiplier les difficultés du gouvernement populaire et légitime irakien, tout ceci ajouté à la passivité des forces d’occupation, dans le cadre de la défense des saints restent quelques chose d’obscur et ne peut que susciter des questions.

L'explosion a détruit mercredi les deux minarets du célèbre sanctuaire chiite d'Askariya à Samarra. Le premier ministre Nouri al-Maliki a imposé un couvre-feu d'une durée indéterminée pour le trafic automobile et les rassemblements à Bagdad à compter de 18h, heures locales. La ville de Samarra se situe à 95km au nord de la capitale.

A Samarra, l'explosion s'est produite vers 9h ce matin et a provoqué l'effondrement des deux fines tours qui bordaient les ruines du dôme doré. On ne faisait état d'aucune victime.

La puissante déflagration a retenti dans toute la ville et soulevé un vaste nuage de poussière, d'après des témoins. Après l'explosion, des policiers ont tiré en l'air pour tenir la foule à distance tandis qu'arrivaient des renforts. Selon le ministère de l'Intérieur, une unité de la police nationale a été immédiatement dépêchée à Samarra.

Les autorités s'interrogeaient sur les circonstances de cet attentat perpétré contre une mosquée dont la protection avait pourtant été renforcée après le spectaculaire attentat du 22 février 2006.

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