ظالمی را حکایت کنند که هیزم درویشان خریدی به حیف و توانگران را دادی به طرح. صاحبدلی بَرو گذرکرد و گفت
مارى تو كه هركه را ببینى بزنى یا بوم كه هر كجا نشینى بكنى
زورت از پیش مى رود با ما با خداوند غیب دان نرود
زورمندى مكن براهل زمین تا دعایى برآسمان نرود
حاکم ازگفتن او برنجید و روی از نصیحت او درهم کشید و بَرو التفات نکرد تا شبی آتش مطبخ درانبارهیزمش افتاد وسایراملاکش بسوخت و از بستر نرمش به خاکستر گرم نشاند. اتّفاقاً همان شخص بَرو بگذشت و دیدش که با یاران همی گفت: ندانم این آتش از کجا در سرای من افتاد؟ گفت: ازدود دل درویشان
حذر كن زدود درونهاى ریش كه ریش درون عاقبت سر كند
بهم برمكن تا توانى دلى كه آهى جهانى بهم بر كند
و بر تاج کیخسرو نبشته بود
چه سالهاى فراوان وعمرهاى دراز كه خلق بر سر ما بر زمین بخواهد رفت
چنان كه دست به دست آمده است مُلك به ما به دست هاى دگرهم چنین بخواهد رفت
On dit qu'un méchant forçait les pauvres à lui remettre à vil prix le bois qu'il revendait fort cher aux riches. Un sage passa auprès de lui et dit:
«Es-tu serpent qui mord tout ce qu'il voit bouger
Ou bien hibou, puisque tu creuses là où tu passes?
»Si la violence dont tu nous accables te réussit
Sache qu'avec le Maître qui connaît les secrets
Elle échouera. Ne persécute pas les hommes
car leurs imprécations monteraient jusqu'au ciel.»
L'homme injuste fut irrité de ces paroles et fronça le sourcil devant ces remontrances. Puis, il n'y pensa plus, jusqu'à ce qu'une certaine nuit, le feu ayant pris dans les cuisines, sa maison et toutes ses richesses fussent brûlées. Au lieu de cousins bien grains, il n'avait plus qu'un lit de cendres. Par hasard, le même sage passait par là. Il entendit l'exploiteur qui disait à ses amis: «Je ne sais d'où ce feu peut être tombé dans mon palais.»
Le sage, en écho, murmura: «Peut-être a-t-il été allumé par la fumée du cœur des pauvres...
»Garde-toi bien de la fumée des cœurs blessés
La blessure du cœur se rouvrira sans cesse
Tant que tu le pourras, n'oppresse pas un cœur
Le soupir d'un seul cœur renversera le monde.»
Il était écrit, sur la couronne du roi Keï-Khosrew:
»Pendant combien d'années, pendant combien de siècles
Des hommes, sur la terre, marcheront sur nos têtes?
De main en main, les rois transmettent leurs pouvoirs
Et puis, la royauté dans d'autres mains s'éclipse...»