درویشی را ضرورتی پیش آمد. کسی گفت: فلان نعمتی دارد به قیاس ، اگر بر حاجت تو واقف گردد همانا که در قضای آن توقف روا ندارد. گفت: من او را ندارم . گفت: منت رهبری کنم . دستش گرفت تا به منزل آن شخص درآورد. یکی را دید لب فروهشته و تند نشسته. برگشت و سخن نگفت . کسی گفتش : چه کردی؟ گفت: عطای او را به لقایش بخشیدم
مبر حاجت به نزد ترشروى
كه از خوى بدش فرسوده گردى
اگر گویى غم دل با كسى گوى
كه از رویش به نقد آسوده گردى
Un derviche se trouvait dans la plus grande nécessité. Quelqu'un lui dit: «Il’y a près d'ici un homme très riche et j'ai lieu de croire que s'il connaissait ta pauvreté, il n'hésiterait pas à y mettre fin.
—Je ne le connais pas, répondit le derviche.
—Eh bien! je te conduirai moi-même jusqu'à lui. »
L'ami lui prit la main et l'amena à la maison de l'homme riche. Le derviche vit alors un homme assis, à la lippe pendante, aux sourcils froncés, à la mine maussade. Il ne lui adressa pas un mot et s'en fut. Son ami lui dit alors: «Mais, qu'as-tu fait?
— Je lui ai fait grâce de son présent,
répondit-il, en raison de sa triste figure!»
»Un homme à la triste figure, ne lui dis rien de tes besoins
Son mauvais naturel te poursuivrait.
Confie les chagrins de ton cœur, confie-les à celui
au visage d'argent comptant, sa bonne mine t'a rassuré.»